Comment compter les générations sur un arbre généalogique ?

Nombreux sont les individus qui ne connaissent pas l’arbre généalogique de leur famille. Il arrive pour certains de bien vouloir le réaliser, mais le processus semble complexe pour eux. Pourtant il existe une astuce simple qui permet de le compter sans ménager aucun effort. Il suffit de suivre des formules accessibles à tout le monde pour mieux comprendre l’histoire complète de sa famille. Quel procédé utilisé pour compter les générations sur un arbre généalogique de manière efficace ?

Pour quelle fin réalise-t-on un arbre généalogique ?

Réaliser un arbre généalogique vise à déterminer les ancêtres de sa famille. Il permet aussi de connaître les liens de sang qui lient les uns aux autres. Consultez le site https://www.pisteonjobs.com/comment-compter-les-generations-sur-un-arbre-genealogique pour avoir plus de détails.  Au-delà de l’histoire, le fait de découvrir ses ancêtres donne l’occasion de faire des découvertes inattendues et assez divertissantes. Pour certaines sources, il semblerait qu’un grand nombre de Français soit tous des descendants de Charlemagne.

Selon des historiens, les enfants du roi se sont dispersés dans tout le globe et seraient estimés à plus de 1 milliard. En considérant à l’époque que la population ne dépassait pas les 10 millions d’individus, on pouvait tous croire que Charlemagne était l’ancêtre de tous. Cette simple anecdote peut amener à vouloir connaître l’arbre généalogique de sa famille. Aussi, faudrait-il noter que d’autres situations peuvent conduire à construire cet arbre. C’est le cas par exemple de la recherche d’héritier pour un individu décédé qui n’aurait eu aucune descendance lors de son existence.

Par quel procédé peut-on analyser les différentes générations d’un arbre généalogique ?

Les spécialistes en généalogie diront qu’il existe une panoplie de méthodes pour calculer un arbre généalogique. Par exemple, pour déterminer le degré entre deux cousins, certains experts utilisent une astuce qui vise à diviser le nombre de véritables ancêtres avec le nombre d’ancêtres théoriques. Mais cette formule nécessite la connaissance précise des ancêtres de la génération que l’on veut établir. Sinon il sera difficile d’appliquer correctement cette technique. Mais pour chaque génération en revanche, il existe un certain nombre d’ascendants.

Par exemple, quand les nombres théoriques et réels sont identiques, alors il est dit que l’implexe est équivalent à 1. Cependant, lorsque certains ancêtres reviennent de nombreuses fois dans l’arbre, cela diminue systématiquement le nombre réel en faveur du nombre théorique. Dans ce cas, on dit que l’implexe est inférieur à 1. À ce titre, plus le complexe est faible, plus le degré de consanguinité est élevé. C’est une formule qui explique qu’à une certaine période et dans une région donnée, les habitants d’un même territoire et d’une même religion se sont reproduits entre eux.

Toutefois, si l’implexe et le nombre d’ancêtres sont élevés, cela peut rendre le calcul complexe. Pour mieux comprendre l’implexe, on supposera que Richard, marié à Jacqueline, ont un enfant garçon. À la recherche de ses ancêtres, Richard découvre qu’il partage un ancêtre avec Jacqueline qui se trouve être son arrière-grand-père. Richard et Jacqueline sont donc des petits cousins sans toutefois le savoir. Cela implique que leur enfant est un descendant deux fois du même ancêtre. Par conséquent, l’implexe se retrouve considérablement affaibli sur cette génération.

Quelle est la meilleure formule pour calculer un arbre généalogique ?

Dans un arbre généalogique, une génération est souvent représentée à l’aide d’une ligne verticale. Sur ce, pour déterminer le nombre de générations sur cet arbre après avoir identifié tous les ancêtres, il faudra simplement compter le nombre de traits verticaux situés entre l’ancêtre commun et le dernier individu. Mais il arrive que sur certains arbres, le comptage des lignes puisse s’avérer impossible. Pour ce faire, on recommande d’utiliser la méthode de calcul avec la numérotation Sosa-Stradonitz.

C’est une technique assez appréciée par les experts en généalogie. En effet, cette formule vise à attribuer un nombre pair aux hommes et un nombre impair aux femmes. Le principe d’attribution se fait à partir de la dernière personne dans l’arbre qui devra porter le numéro 1. Le père de celui-ci portera donc le numéro 2 et sa mère portera le 3. Sur ce, il suffit de multiplier le nombre d’enfants par 2 pour attribuer le numéro du père d’une génération à l’autre avant d’ajouter 1 au numéro de la mère.

De façon pratique, si on applique la numérotation Sosa-Stradonitz sachant qu’on est le numéro 1 de l’arbre généalogique, on aura ce résultat :

  • Le père est le numéro 2 sur l’arbre généalogique
  • La mère est le numéro 3 sur l’arbre généalogique
  • Le grand-père maternel est le numéro 4 sur l’arbre généalogique
  • La grand-mère paternelle est le numéro 5 sur l’arbre généalogique
  • Le grand-père maternel est le numéro 6 sur l’arbre généalogique
  • La grand-mère maternelle est le numéro 7 sur l’arbre généalogique.

Avec cette représentation, il est plus aisé de déterminer les ancêtres de sa famille et connaître leur ordre d’arrivée. À présent, il sera facile de compter les générations en s’inspirant de cette technique. Pour mieux la manipuler, il faudra faire quelques exercices pour que l’utilisation devienne une routine. Toutefois, il est important de ne pas négliger l’implexe dans la réalisation de l’arbre généalogique.

Nicolas Pretiu

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